Y'a des jours comme celui-ci où je ne sais pas quoi faire. Résultat ou bien je pars dans le coin fumeur pour m'en griller une, ce que je fais quatre fois sur dix. Ou bien je passe au bistro, ce que je fais cinq fois sur dix ou bien encore je vais ailleurs dans un endroit au hasard ce que je fais une fois sur dix. Vous pouvez vérifier, la somme des probabilités fait bien un. Si nous comptions bien, il y avait donc une chance sur dix pour que j'aille ailleurs que dans un lieu de débauche. Maintenant décomposons ; Combien y-a-t-il de chance pour que parmi les une chance sur dix, je tombe sur un lieu bien spécifique qui, admettons-le, serait la bibliothèque d'Alcea Rosea ? Il y en avait peu, sans aucun doute ! La question que vous êtes désormais en droit de vous poser c'est : « Pourquoi on nous parle de probabilité ? » et bien pour la simple et bonne raison que je me trouvais actuellement dans la bibliothèque. Dans quel but ? Pour quoi ? Comment ? Et bien disons simplement que le néant m'avait envoyé ici pour une raison que moi-même je ne comprenais pas. Toujours est-il que j'étais malencontreusement tombé sur un manuel d'arithmétique et que je trouvais très intéressant de calculer la probabilité que je vienne ici. D'ailleurs si nous continuons, dans la « logique » mathématique, combien de chance y avait-il pour que je tombe par hasard sur ce livre ? Combien de chance y avait-il pour que je tombe sur la page concernant les probabilités ? Combien de chance y avait-il pour que je me pose cette question ? Combien y avait-il de chance pour que je me pose la question de combien y'avait-il de chance que je me pose question précédente ? …

Après une heure à philosopher sur le sens des mathématiques, j'en eus plus que marre et balançai violemment ce foutu livre d'algèbre au sol. Un grand bruit se fit alors entendre dans toute la bibliothèque. À bas cette matière aberrante que represente les maths, vive le hasard. Vive le néant. Voilà ce que je me dis au moment où le livre du diable – sous entendu le livre de mathématiques – tomba au sol. Malheureusement, ce ne fut pas vraiment ce que pensa la majorité des élèves et des documentalistes en voyant mon acte qu'ils considéraient presque comme blasphémateur. Mon dieu, je venais de balancer un livre dans le pays des pages barbantes et des documents donnant ou bien : Envie de vomir, de se suicider, de dormir ou même encore les trois en même temps. Je me sentais pas vraiment dans mon élément ici et les petits rires vicieux que j'entendais ci et là n'atténuèrent en aucun cas ce sentiment. En effet, il semblait évident que j'étais le vilain petit canard de la portée. Pour vous donner idée, c'était un peu comme si un Barpeau se retrouvait dans la zone où se trouve tout les Millobelus.

Bref, voyant tout les regards sombres se poser sur moi, un sourire crispé se peint sur mon visage pâle. Gêné, je commençais même à me gratter la barbe puis me levai de la table sur laquelle j'étais installé pour lire. À seulement quelques mètres du livre, se trouvait une jeune femme à la chevelure d'argent. Cette dernière semblait d'ailleurs chercher un bouquin sur une étagère. M'avançant vers le fameux livre d'arithmétique – et donc vers la fille – je me baissai puis saisis le livre d'une main ferme. Ce faux sourire toujours affiché sur mon visage, je me redressai puis entamais la conversation avec cette jeune femme, politesse de gentleman oblige !

« C'est un lieu très sympathique pour réviser, ne trouvez-vous pas ? »

Un rire gêné plus tard, je me rendis compte du ridicule de la situation. Réviser ? En voilà une bonne blague. J'étais sûrement le professeur le moins instruit et le moins désireux de le faire alors bon...Parler de « lieu sympathique » alors que j'exécrai les livres et que je venais ici qu'une à deux fois par semaine, c'était tout simplement risible.

La bibliothèque endroit stratégique des menthae, comme un QG en fait c'était une réunion tout à fait subtile de personne.Bien entendue Riley faisait partie intégrante de cette endroit où elle venait souvent malgré l’imbécilité environnante qui pesait. C'était terrible de savoir le nombre d'inculte ou de personne n'ayant même pas une moyenne suffisante qui trainait ici.Personne n'osait jamais s'approcher du coin de riley, même pour prendre un livre en fait, mais elle ne se gênait guère pour approcher ceux des autre par contre. D'ailleurs elle tenait en main un livre sur les sciences qu'un élève avait malencontreusement laisser sur sa table, maintenant il lui appartenait et il ne valait mieux pas venir le rechercher.Confortablement installer dans son coin habituel de la bibliothèque, elle était calme et ne faisait aucun bruit. Après tout elle n'était pas comme le trois quart des gens ici qui parler ou jouer pour une raisons obscure à la bibliothèque.

Pourtant elle était assez mauvaise langue pour une fois, c'était calme, il n'y avait pas trop de bruit, il était largement plus simple de lire dans c'est condition.Elle était bientôt à la fin de son livre quand le bruit d'un livre qui était jeté au sol par quelqu'un résonna. Riley leva ses yeux vers l'homme qui était fixer par tout les gens ici. C'était une prof cette personne et pas n'importe lequel en plus.C'était le prof principal des Menthae, comme pas mal de prof il ne semblait pas plus évolué que ses collègue. Il était peut être même pire qu'Hellen qui était déjà au summon de l'imbécilité.Jeter un ouvrage ainsi au sol était un sacrilège c'était certin, il était trop bête ou était ce seulement un ras le bol de voir trop de gens par ici. Riley fermait son livre finit doucement sans se presser il fallait aller chercher un autre livre, et heureusement il y en avait un intéressant non loin de ce prof. Elle se levait de sa chaise et s'approchait du prof pour déposer d'abord son livre, et prendre un nouveau livre. Quand celle ci se retourna l'homme adressa la parole à Riley. Celle ci le regarder blaser et tout les regard de cette bibliothèque tourner la tête pour pas voir cette scène. Les mots de cette homme sonner faux portant, elle ne pouvez pas nier ce qu'il venait de dire non plus.

-Ça dépends de l'heure, mais généralement c'est un bon endroit.Enfin sauf quand parfois, il y a des imbécile qui jette leur livre d'arithmétique par terre c'est toujours très emmerdant.

Elle n'était jamais du genre à tourner autour du pot. Prof ou pas elle était toujours ainsi en dehors des cours, pendant elle était toujours la première de la classe. Ce genre de prof se fichait certainement d'ailleurs de qui était Riley au final, et il savait peut être pas d'ailleurs que c'était une de celle qui faisait partie des Menthae. Bien que cette vérité là était presque marquer sur le front de la jeune fille, sa manière d'être était facile à comprendre et àa décrire même en la connaissant guère.

Ah ! Elle avait totalement raison ! Ces ignares qui jettent des livres, il faudrait les pendre, les guillotiner, les écarteler, les fouetter. Bref, vous l'avez compris, il faudrait leur donner une puntion à la hauteur de leur stupidité ! Car oui, de nos jours il n'y a plus aucun respect. Ces jeunes, je vous jure ! Hier encore je voyais des mômes de l'établissement jouer en balançant des cailloux dans une marre où reposaient tranquillement des Psykokwak. Voilà une génération fichue, je vous le dis. Jeter des livres alors que nous nous trouvons en plein dans le royaume de la bouquinerie. Il n'y avait vraiment plus de justice dans ce monde. Où était donc passée la morale ? Il n'y en avait plus, pour sûr ! Quel crime que de jeter un ouvrage ! D'autant plus si ce livre concerne d'arithmétique. Outré, je soupirai puis acquiesçai aux paroles de mon interlocutrice d'un hochement de tête. En outre, afin de bien montrer toute mon indignation, je plaquai ma main contre ma figure, les yeux fermés. Non, vous ne rêvez pas, j'adoptais bel et bien la fameuse position du « Facepalm » l'air de dire : « Oh mon dieu, que c'est grave. » Jusqu'à ce que soudainement, un flash. L'illumination. Appelez ça comme vous le voulez mais toujours est-il que je venais de saisir toute la portée de ses paroles – oui je sais, il était temps –. Quelqu'un qui emmerde les gens et qui balance des livres mais...Mais...MAIS C'EST MOI ÇA ! Comment avais-je pu passer au travers ? Après tout, il n'y avait pas cinquante des hommes ici qui jetaient des livres de mathématiques au sol. Assez surpris je m'exclamai :

« Hein ? Tu parles de moi là ?! Ah ah ah. »

Comprenant la critique quelque peu détournée de cette femme, je rouvris mes yeux puis commençais à pouffer de rire. Visiblement la dresseuse au faciès angélique n'avait pas apprécié mon geste. Par pure déduction, je pouvais affirmer qu'il s'agissait sûrement d'une de ces Menthae coincée du bulbe. Vous savez, ces gens qui ne pense qu'à réviser et à lire des livres. Après tout, il n'y a que des rats de bibliothèque dans cette maison. Et le pire vous savez quoi, c'est que j'en étais le prof principal. D'ailleurs maintenant que j'y pense, il fallait que j'aille voir le directeur de cet établissement histoire de comprendre comment il avait fait pour me foutre dans une telle maison. Effectivement, si nous résumions bien, Hellen avait eu en charge les Narcissus ce qui correspondait plus ou moins avec sa personnalité, Dante les Lychnis tandis que moi j'avais hérité d'un groupe de surdoué ayant la vie sociale d'huitre ce qui n'était en rien compatible avec ma façon d'être.
En pensant à cela, un frisson me parcourut. À ce moment là, allez savoir pourquoi, j'étais persuadé que si elle avait le pouvoir de m'exécuter, elle l'aurait fait sans aucun remords en me voyant blesser ce pauvre bouquin. Enfin bon ! Jusqu'à preuve du contraire c'est elle l'élève et moi le prof, tâchons donc de ne pas être trop ridicule et de remettre cette gamine à la place qui était la sienne.

« Tu sais, c'est très bon pour les livres de se faire jeter au sol. Le choc les aplatit et les rend moins volumineux ce qui permet de ranger plus de bouquins dans les étagères de la bibliothèque ! Je permets à l'établissement de faire des économies de meubles en somme. Qui plus est, en ayant moins d'étagères, on dépense moins de bois, ce qui fait du bien au portefeuille et à mère nature ! Financièrement parlant, ça permet d'acheter d'autres livres, m'voyez donc te plains pas je fais plaisir au peuple. Quant-à mère nature, celle-ci pourra me remercier de mon engagement écologique. Soit dit en passant, je suis persuadé qu'un jour le monde entier, toi y compris, me remerciera pour mes actes héroïques, un jour... »

...C'est fou le talent que j'avais pour raconter des absurdités. Au fond, même moi je ne croyais pas aux conneries que je déblatérais actuellement. Et dire que de base, je souhaitais remettre à sa place cette étudiante...On pouvait aisément dire que j'avais échoué. Pire même, j'avais réussi à me rendre encore plus ridicule que je ne l'étais avec ma logique et mes arguments à deux francs. Chose qui, disons le clairement, était une prouesse puisque de base j'étais déjà la risée d'Alcea Rosea.

La discutions avait était lancer avec cette homme qui semblait ridicule au milieu de cette antre pour rat de bibliothèque.Il semblait pathétique et dire que ça était censé représentais la maison des Menthae. Franchement cette école semble dans une déficience mentale accru.Bon que de détail après tout les décisions scabreuse de ce lycée était pas vraiment important. Riley regardait son interlocuteur blasée, elle ne l'aimait pas vraiment, et cette première approche lui donner des bouton. Comment un primate si peu évolué pouvait être prof principal. Elle le fixait les bras croisée complètement dégouté par cette vérité, il fallait oublier un peu cette histoire et se concentrée un peu.Après tout il fallait pas non plus zappée ce qu'il disait même si celui ci semblait vraiment idiot. Comment avait il pas remarquer que les paroles de Riley était diriger vers lui. Il était vraiment ridicule ce mec, comment avait il réussi à être ici avec une intelligence aussi basse. En plus il riait, il était fou c'est ça, si telle était le cas il était dangereux en fait.

Riley le fixer les bras croiser se méfiant tout de même sait on jamais.Elle était peut être une peste de première mais, les fous était loin d'être rare.Ou peut être c'était que ce rire était la manifestation de cette imbécilité qui le caractérisait.Elle était pas vraiment sur de la deuxième affirmation, il valait mieux rester sur ses gardes.Tout semblait se calmer au fur et à mesure donc en fait ce n'était pas vraiment de la folie, c'était rassurant. En tout cas derrière sa barbes ce profs était flippant.Riley était perturbé par ce prof mais, elle ne le détestait pas moins. Bon il allait sortir quoi comme ânerie maintenant avec son début il ne pouvait pas faire pire en principe n'est ce pas. Enfin c'est ce qu'elle croyait, les mots prononcer par ce mec était en fait pire que tout. Même un enfant de 4 ans n'aurait pas sortie pire que ça. Dame nature remercierait pour ce geste, quel crétin franchement, il n'y avait pas pire que ça dans ce bas monde.

-Et tu écrase aussi ton sac ainsi pour éviter que les vaches soit tuer? c'est très limité comme raisonnement ça. Vous êtes sur qu'on ta donnais la bonne maisons, je ne savais pas qu'on refiler des gens comme toi en prof principal.

Hop et elle en rajoute une petite couche légère sans encore y aller fort, non là elle se réservait encore.Elle attendait un peu pour lui dire le fond de sa pensée, après tout elle ne devait pas non plus lui déballer tout sinon elle s'ennuierait après ça serait trop triste. Et puis ce mec méritait d'être insulter peu à peu ainsi torturer moralement elle en avait bien envie.

Je sens l'adrénaline monter en moi. Cette gamine m'amuse. Elle veut se battre ? Elle veut voir lequel de nous deux avait le meilleur sens de la répartie ? Elle pensait pouvoir se payer ma tête ? Et bien elle allait vite être déçue. En effet, j'avais beau être un gentleman je ne laissais personne, je dis bien personne me marcher dessus. Femme, homme, enfant, je ne faisais pas de distinction d'âge, de sexe ni de race. La dresseuse à la chevelure d'argent voulait se confronter à moi dans une bataille de répartie ? Soit. Écoutant son argument idiot, je souriais. C'est fou mais je savais parfaitement quoi lui répondre. Le coup des vaches était bien tenté mais bon, c'était facilement contrable. Du moins, c'était ce que je pensais à ce moment précis. Concernant le reste et bien...Bof. Cela ne valait même pas la peine que je réponde à ce genre d'attaque ad-hominem. Sans aucune préparation ni rien je m'apprêtai à lui répondre. Que de l'improvisation, du freestyle en somme et croyez-moi, ça allait « envoyer du lourd » comme le disent les cancres de ma classe de sixième année. Prenant une grande bouffée d'air je m'élançais tel une vipère se préparant à cracher son venin.

« OBJECTION ! »

En criant de la sorte, toute la bibliothèque cru à un incendie, une alerte à la bombe ou je ne savais trop quoi encore. Il faut dire qu'ils n'étaient pas habitués à entendre des gens hurler ici. De nouveaux énormément de regards noirs se posèrent sur mes épaules. Heureusement, mon statut empêchait la documentaliste de me virer. Pareillement, tout les élèves reprirent une activité normale en voyant que j'étais à l'origine de ce brouhaha. Ces chacals auraient bien aimés me faire sortir d'ici malheureusement pour eux, il n'en avait pas le pouvoir. Ainsi, j'étais seul maître à bord et actuellement, j'avais quelque chose à faire avec cette étudiante un peu trop agressive envers ma sainte personne. Parlant à voix basse – car oui même s'ils ne pouvaient pas me virer j'avais tout de même un tant soit peu de respect pour ceux qui travaillaient ici – je me mis en tête de rétorquer à ses accusations une par une.

« Ça tombe bien que tu parles de sac et de vaches car justement, je n'ai pas de sac à dos mais bel et bien un porte document. Attention, pas le porte document fait en cuir d'Ecremeuh ou je ne sais trop quoi hein ! Un vrai porte document comme on en avait au seizième siècle. Bien contractés et tout. Alors rentre boire ton lait, petite car ce n'est pas demain la veille que tu réussiras à me faire taire. Ah et concernant les attaques ad-hominem. Je vais répondre à ta question par une autre interrogation. Je sais que cela ne se fait pas et que ce n'est pas digne d'un gentleman néanmoins je ne peux m'empêcher de te demander la chose suivante : Ta violence et ta pseudo haine à mon égard ne serait pas par hasard le reflet de ton ignorance profonde et de ton manque de sociabilité ou est-ce juste un style que tu te donnes ? Non parce que si c'est ta véritable nature tu dois avoir un manque énorme qui serait éventuellement lié à un problème affectif remontant à il y a des années, tu crois pas ? Ce que, bien évidemment, tu essaies de cacher à travers un air hautain, des paroles outrageuses et un besoin incessant de te sentir supérieur aux autres via diverses activités. Si oui je ne me trompe pas alors je crois qu'il faut que t'ailles te faire soigner, ma vieille. Si je me trompe, je crois qu'il faut que t'ailles encore plus te faire soigner car cela voudrait sûrement dire que t'es atteint de la pire pathologie qui soit en ce bas monde : La débilité. »

Allez hop, in the face : Dans la tronche de la gamine. Bon, concernant le coup du sac et des vaches j'avais été plus que moyen mais pour ce qui était de la suite, je m'étais lâché. Non mais ces jeunes de nos jours, je vous jure ! Ils ont tous des problèmes d'identités et se défoulent sur les adultes comme si cela coulait de source et comme si nous étions fait pour accueillir leur misère et leur soucis existentiel. Enfin si ça se trouve cette fille n'avait ni problème psychomoteur ni soucis de personnalité mais toujours est-il que cela me plaisait de déballer ma science. Ça faisait intelligent, ça faisait Menthae.

Riley regardait ce prof qu'elle détestait déjà jouer les pestes avec, elle le fixait toujours les bras croisée. Elle se douter qu'un idiot du genre ne se laisser jamais faire, et une fois au pieds du mur il allait sortir es même mots que les autres. Riley attendait avec une certaine impatiente les mots de cette homme, il était certain qu'il ne se laisserais pas docilement faire.Il en avait pas la tête en tous cas, et il allait surement bien contre-attaquer Riley. Plus les personnes semblait irrité plus elle garder son calme et envoyer des piques assez méchante pour le finir à un moment.Elle le fixait incrédule, cette homme réfléchissait mais est ce que ça allait durée longtemps cette situation là.Non bien entendue, il cria un objection énorme en plein milieu de la bibliothèque (Phoenix Wright est de retour feaaar /VLAN/). On aurais dis un avocat quand il venait de faire ça c'était assez étonnant, c'était bien le premier qui lui faisait ça.

La jeune fille aux cheveux d'argent trouver cette chose un peu débile, mais oh moins ça avait réveiller tous les idiots endormie de cette bibliothèque.Bon maintenant qu'allait il dire pour accompagner ce mots qui avait fait sursauter tout le monde sauf Riley. Elle le fixait toujours se disant qu'il allait surement lâché du lourd maintenant. Elle se doutait qu'elle allait surement en prendre pour son grade, en même temps c'était un prof il devait certainement en savoir plus qu'elle sur l'expérience de la vie. Les mots qu'il disait tombait, comme un ouragan ou une pluie diluvienne. Le début était un peu inutile, il semblait tellement pas utile de dire ceci. Par contre le reste était le bas qui blesse c'était certain, mais Riley ne serait jamais avouer le pourquoi de son comportement. Après tout qu'est ce que ça l’intéresser lui de savoir la mentalité de ses élève, même une huitre semblait plus intelligente. elle fermait les yeux toujours aussi calme ne s'énervant pas non , ça ferait trop plaisir à ce prof après tout. Elle allait lui répondre simplement, elle ne c'était jamais justifier de ses actes c'est pas maintenant qu'elle le ferait.

-Vous vous en souciez peut être?Je n' y répondrai même pas. Votre interrogation restera telle quel. Après tout je ne vois pas pourquoi je dirai quoi que ce soit à un prof idiot qui gueule au milieu d'une bibliothèque.

Du Riley pur ne pas répondre et détourner ce qui à était dis, elle ne disais même pas si il c'était tromper ou pas. Et personne ne le sera d'ailleurs, qui ça intéresser de savoir pourquoi une gamine comme Riley était ainsi après tout. Elle avait envie de partir cette discution avec cette homme était ennuyante, il lui Hérissait ses poils. Savoir que ce barbu pédophile était son prof principal était déjà trop dans sa tête après tout.

Calme, la dresseuse à la chevelure d'argent resta les bras croisés durant tout mon laïus. C'était assez impressionnant pour quelqu'un de son âge. Rester stoïque ainsi. Visiblement l'adolescente avait un sang froid à toute épreuve. Moi, à son âge, j'aurai sûrement réagis violemment ce qui n'avait pas été son cas. Quand enfin ma tirade se termina, la fanatique des livres lâcha simplement que je me souciais peu d'elle et qu'en aucun cas elle ne désirait répondre à mes questions qui, à mon sens, pouvaient plus être associées à des accusations en réalité. La jeune femme ajouta ensuite qu'elle n'avait rien à dire à un homme tel que moi. Soit disant qu'elle me trouvait bête, inintéressant ou je ne sais trop quoi encore. Bon honnêtement, elle n'avait pas totalement tort sur ce coup-ci mais peu importe. Un sourire aux lèvres, je fermai les yeux puis tournai la tête de droite à gauche de manière à exprimer toute ma déception. Bwah ! On ne s'amusait pas avec elle. C'est vrai quoi ! Elle parle beaucoup, elle ne cesse de critiquer mais dès qu'on lui oppose la moindre résistance, il n'y a plus rien, le néant total. Elle se contentait d'insulter sans aucun développement, sans aucune argumentation. Sa répartie était aussi plate qu'un bas plateau de Johto.

Maintenant que j'y pense, j'en avais côtoyé pas mal dans ma vie des gens comme elle. Certain étaient devenus mais amis mais, soyons franc, la plupart m'avaient agacé au bout de cinq minutes. Elle n'était sûrement pas méchante au fond cette Riley – du moins c'était ce que j'espérais au plus profond de moi-même – mais bon... Passons sur le cas Tsuchimiya. Après tout comme dit précédemment, c'était typiquement le genre de personne à aboyer énormément sans jamais être en mesure de vous mordre. De fait, j'allais arrêté mes gamineries. Car oui en ce moment-même, c'était bien moi le gamin, pas elle. Certes, c'était bien la Menthae qui avait cherché la bagarre la première néanmoins j'avais suffisamment sali ma réputation de gentleman – car oui, j'y croyais vraiment à cette réputation que je ne possède que dans mes rêveries les plus folles – en m'abaissant à répondre de la sorte.

Le sourire disparut de mon visage, mes traits se raffermirent et d'un geste de main je fis comprendre à mon interlocutrice que j'abandonnais. Oui, ça ne servait à rien. Avais-je touché juste quand je disais que son comportement était dû à un problème personnel ou à un manque affectif ? Je n'en avais strictement aucune idée. Au fond, je disais ça plus de manière à « sortir ma science » comme dit précédemment. Qui sait, si ça se trouve j'avais vu juste ? J'avais percé le secret de sa méchanceté. Un regard posé sur elle, je me mis à réfléchir quelques secondes. Ah...Misère. Voilà que je me sens coupable maintenant ! Si seulement elle m'avait répondu, peut-être me sentirais-je mieux mais là, le fait qu'elle ne « joue » plus me mettait quelque peu mal à l'aise. J'avais la sensation d'avoir fait quelque chose de mal et ça, cela ne me plaisait pas, mais alors pas du tout ! C'était presque comme si je voulais m'excuser auprès d'elle pour mon débordement d'il y a quelques secondes. Oui, c'était cela. Je voulais m'excuser auprès d'elle, auprès d'une gamine insolente qui jusqu'à la toute fin m'avait insulté. Vous y croyez-vous ? Mon dieu... Ma bonté me perdra. Enfin bref, allons-y puisque mon sens de la morale m'ordonnait de le faire.

« Hum...Soit. Restons-en là. Cela vaut en effet mieux pour tout le monde. Ah et soit dit en passant, je m'excuse pour ce que je t'ai dis tout à l'heure... »

.. À cela je me retins d'ajouter « Même si au fond je le pense vraiment » et posai le livre de mathématiques que j'avais précédemment jeté sur l'étagère où je l'avais trouvé. Riley était toujours là. À quelques mètres de moi. Allait-elle lancer une dernière réplique cinglante ? Bizarrement c'était ce que j'espérai. En effet, j'aimais peu qu'on ne m'offre pas de résistance. D'autant que si elle pouvait faire sa peste et avoir le dernier mot, cela me permettrait de me sentir un peu mieux.

Spoiler:

Voila tout était dis c'était certain, qui y avait il de mieux à sorti, même Riley avait pas le goût de finir en peste là tellement elle était irrité par le monologue. Cette imbécile avait bien visée c'était certain mais, ça il ne le savait pas et c'était bien là le but. Elle avait poas évité la question pour rien en tout cas, il avait d'ailleurs certainement du le remarquer, puis tant pis qui aille se faire voir ailleurs. Elle fixait se barbu là qui était devant elle, au niveau de l'imbécilité il était au summum, mais peut être avec de la chance c'était peut être un bon prof allait savoir. Elle ne pourrait le savoir que quand elle aura cours avec cette énergumène.Si il était "intéressant" elle reverrait peut être son jugement sur cette personne qui semblait être un gros laxiste.Bien entendue cette pensée elle se le garder bien que pour elle aprés tout pourquoi partager de si douce pensée de pesterie. Et puis cette homme c'était excuser, mais il semblait pas vraiment pensée ce qu'il venait de dire.

Riley soufflait légèrement ne sachant pas comment perdre les excuses, comme une ultime remarque ou tout simplement comme un pardon. Elle n'avait même pas envie de prendre une des deux options mais elle savait que si elle jouer les peste maintenant ça serait lui donner raisons au fond. Un sourire malsain se dessiner sur son visage d'enfant, qui pouvait en dire un peu plus loin. Cela pouvait présagé rien de bon comme rien du tout au passage. Elle tournait les talons pour ne plus fixait ce prof qui était là. Juste d'un signe de la main préférant se contenter d'un au revoir froids et distant. Elle ne parla même pas ni rien, elle n'avait pas envie de s'étendre préférant retourner à sa lecture plus passionnante qu'un mec qui faisait tomber les bouquins.