Taille : 1m76
Poids : 64 kg
Couleur des yeux : Marrons comme un morceau de chocolat ♪
Couleur des cheveux : Châtain
Signe distinctif : Visage de poupon et semble un peu maladroit à cause de ses gesticulations relevant plus du singe que de l'homme.

Jay, c'est le gosse ou bien le môme. Pas parce qu'il est particulièrement petit, il a une taille qui se rapproche plus ou moins de la normale. Non, Jay, lui, a un visage encore assez poupin, rond et mignon comme celui d'un enfant de moins de cinq ans. Le visage qui vous agace plus qu'il devrait vous attendrir d'ailleurs avec son sourire idiot collé au visage. Parce ce qui caractérise notre ami, c'est sa tendance à avoir un sourire naïf si souvent, ce qui lui donne parfois l'air un peu idiot dit-on. Et à ceux qui tenteront de le défendre en lançant que l'habit ne fait pas le moine, on leur répondra que, malheureusement, ce coup-ci son attitude ne semble pas s'éloigner tellement de sa véritable nature.
Avec son regard brun malicieux, l'adolescent ressemble difficilement à un futur adulte mature et responsable mais bien à un enfant de moins de dix ans. Ses cheveux châtains qui lui tombent sur le visage, leur forme changeant constamment selon la paresse de leur propriétaire comme indécis. Parfois en bataille, parfois peigné, parfois même il fait l'effort ultime de les mettre en arrière. Mais c'est un parfois qui se rapproche des presque jamais. Et évidemment, ses incontournables sourires. Jay possède plusieurs expressions selon ses sentiments (et se montre même aussi expressif qu'un chimpanzé), il y a : la mine boudeuse, l'air déçu, le froncement de sourcils agacé ou l'expression en colère, l'éclat de rire franc, les dents serrées comme pour retenir sa peine, la grimace écœurée, la mine innocemment malicieuse. Mais il semble avoir une prédisposition naturelle pour le large sourire rempli de chaleur.

Son corps ? Comme déjà dit, Jay se situe plutôt dans les normes aussi bien au niveau de la taille que du poids. Un corps plutôt harmonieux et bien proportionné : pas de tête trop grosse ou de jambes un brin trop courtes. Comme on peut s'en douter en le voyant, notre garçon n'est pas un fervent sportif et malheureusement pour lui, ça se voit. Non Jay, tu n'auras jamais la superbe musculature de ton voisin et ses bras puissants pour serrer contre toi ta Lucresia. Lui, ça serait plutôt l'air un peu maladroit bien qu'il soit loin d'être anorexique, ce serait d'ailleurs plutôt le contraire. Il mange bien pour quatre au moins et pas toujours avec raffinement et élégance au grand damne de ceux en face de lui lors de ces moments.
En vérité, outre son adorable minois, il est fort possible que ses surnoms lui viennent de son apparence maladroite, ou du moins il semble dans des positions étonnements précaires quand il commence à s'emporter. Plus ou moins la plupart du temps, dés que ce garçon se met à bouger, on dirait que son corps devient aussi expressif que ses traits avec ses gestes dans tous les sens, saccadés. Il est même étonnant qu'il n'est encore frappé personne à ce jour, plus d'une fois un pauvre innocent a failli recevoir un coup dans le nez involontaire. Même s'il ressemble la plupart du temps à un singe, comprenez donc qu'il est plus ridicule qu'imposant, notre ami doit avoir quand même un peu de chance qui lui colle aux baskets.

Jay dit aimer les choses larges, les manches qu'il est obligé de remonter pour qu'on voit ses mains mais on le soupçonne fortement de vouloir muscler sa carrure avec des vêtements qui cacheraient son trop peu de musculature saillante. On a beau lui répéter qu'il est très bien comme il est sur un ton réconforter ou lui lancer avec agacement qu'il n'a qu'à s'y mettre, s'il les veut ses muscles, il ne change rien à ses habitudes. La paresse certainement. Paresse qui lui fait aimer les poches qu'il peut remplir, jusqu'à ce qu'elles cèdent, de tout et n'importe quoi. Donc récapitulons : vêtements larges et de préférence avec des poches aux couleurs assez passe-partout parce que c'est surtout les moins chers et que monsieur est souvent plus que fauché. L'argent peut s'envoler très vite dans des mains insouciantes et peu regardantes de son compte en banque.

Qualités : passionné, , enjoué, heureux, expansif, ambitieux, protecteur, bienveillant, courageux, confiant, sociable, bon vivant
Défauts : naïf, idiot, agité, bruyant, impulsif, fêtard, flemmard, humour pourri, immature, insouciant, indiscret, curieux, bavard, pénible, désorganisé bordélique.
Signe distinctif : Extraverti et social ♪

Dans la vie, il y a les gens intelligents qui aiment se casser la tête sur des problèmes sans solutions, les racailles et les gros durs qui terrorisent les plus faibles, les gothique pseudo dépressif contre le système, les ego surdimensionnés avec une couronne sur le sommet du crâne, les séducteurs Don Juan professionnel, les pervers qui pratiquent le voyeurisme excessif, les fêtards paresseux qui font la fête toute la nuit, les artistes torturés...Dans la vie, il y a beaucoup de gens aux caractères très différents.
Jay, lui, il a de l'ambition. Non vraiment, sous ses airs un peu bêta, il en a revendre de l'ambition et des rêves de grandeurs ridicules vous savez. Il aimerait devenir un grand dresseur pokémon, parcourir le monde et pouvoir s'occuper tout seul de sa sœur. Et puis surtout c'est tellement classe d'être accueilli en héros où qu'on aille, acclamé pour son talent. Les regards admiratifs qui le rempliront de fierté et sauver des vies, aussi populaire que les super héros des comics de ses jeunes années. Il faut avouer qu'il s'est un peu fait arnaqué niveau super pouvoir et que de ce côté-là, c'est le garçon le plus banal de la terre. Évidemment, sauver une jeune femme innocente d'un gorille sans pouvoir voler, c'est tout de suite moins facile. Alors, il a décidé qu'il serait un justicier sauvant héroïquement la veuve et l'orphelin grâce à ses pokémons. Il se montre assez protecteur et bienveillant avec ceux qu'il a décidé de défendre, pas toujours avec leur accord d'ailleurs et ne recule pas devant le danger, non sans une certaine témérité.
Malheureusement pour notre héros en herbe, il a aussi hérité d'un poil particulièrement résistant au creux de ses mains. Jay est de ceux qui préfèrent faire la fête toute la nuit au lieu de travailler assidûment, ceux qui préfèrent lézarder au soleil comme des larves plutôt que s'atteler à une tâche qui les ennuie. Il ne renie pas la nature première d l'être humain : préférer aux durs labeurs les petits plaisirs de la vie. C'est toujours le premier à proposer d'organiser une fête. Cependant, Jay est loin d'être assez intelligent et manipulateur pour filer les basses besognes aux autres.
Le jeune Marshall serait plutôt celui qui se fait manipuler et croyez-moi ce n'est pas difficile si l'on sait bien le prendre. C'est le parfait exemple du type naïf qui ne prend absolument rien au sérieux et dont la mentalité est proche de celle d'un enfant. L'argent, les prêts, entretenir une maison, être responsable, réussir ses examens...que des paroles d'adultes frustrés, ennuyeux et monotones. Lui, ce qu'il veut c'est les voyages et la gloire parce qu'il est jeune, qu'il a l'impression d'avoir encore toute la vie devant lui et d'être invincible. Son petit monde semble une bulle géante où la vie est merveilleuse, troublé de temps à autres par quelques importuns malfaisants. C'est un enfant à qui il serait grand temps d'ouvrir les yeux avant de le jeter dans un monde qui sera trop adulte pour lui.
Vous l'aurez deviné au fils de ces fils mais Jay n'est pas un exemple de maturité. Il se fiche du monde selon ses professeurs épuisés de lui répéter les mêmes choses. Il suffit de jeter un coup d'œil à sa chambre, aucune organisation, une ponctualité inexistante. C'est le bazar du matin au soir, tous les jours. S'il n'y avait pas toutes ces contraintes au pensionnat, certainement qu'il n'émergerait pas avant trois heures de l'après-midi de sa couette et que ce qui lui servirait de maison deviendrait bien vite une décharge. En bref, Jay c'est encore un adolescent en pleine crise. Celui qui aime bien tester ses limites, voir jusqu'où il peut braver les interdits sans jamais penser aux conséquences derrière.
En effet, le jeune dresseur agit avant de réfléchir avec la cervelle de poisson rouge qu'on a bien voulu lui accorder. Impulsif, il réagit selon la première idée qui lui traverse l'esprit, en général totalement stupide et irresponsable. Il crie, il hurle, il bouge. Impossible de l'arrêter une fois lancé. Jay il est passionné vous voyez. Par quoi? Un peu tout. Quand il est en colère, quand il est content, quand il s'amuse. Non, le jeune Marshall est loin d'être discret, il est même très bruyant et agité. Toujours en marche, jamais de boutons pause pour le faire taire, tellement d'énergie que ça en est presque épuisant.
Parce que voilà Jay, il peut se montrer vraiment pénible. Indiscret et beaucoup trop curieux. Toujours à faire des blagues qui ne font rire que lui et au moment les plus critiques. Pourtant ce qui fait sa popularité auprès de la plupart des élèves c'est que malgré tout ses défauts, Jay aime être entouré et est quelqu'un de sympathique. Confiant, il est capable d'accoster n'importe qui même pour lui poser une question saugrenue. Il sait se lier facilement avec ses camarades malgré leurs maisons et même s'il peut sembler un brin collant, sa bonne humeur doit être contagieuse. Jay, il aime quand le monde est heureux et il les aime bien, d'ailleurs il ne se gène pas pour le montrer et être peut-être un poil trop expansif.

La femme poussa un soupir agacé, pinçant les lèvres pour retenir sa colère alors qu'elle remettait ses mèches brunes en place, tapant rageusement du pied contre le sol. L'homme en face d'elle se ratatina un peu plus sur lui-même, une mine faussement désolée sur le visage. Foutaises. Il tenta prudemment de lui prendre la main en signe de soumission et de réconciliation. Il ne cherchait jamais la dispute, toujours à se plier misérablement face à plus fort, rampant comme une faible larve.
« - Tu es très belle ce soir...tenta-t-il avec hésitation, devenait-il soudain timide ? Ô pauvre petite chose.
- Casses-toi. »
Mais elle ne ressentait pas la moindre pitié, que du dégoût pour le cafard qui se tenait face à elle avec son insupportable sourire mielleux. On l'avait prévenu, on lui avait bien que cet homme ne lui apporterait rien de beau. Mais elle ne les avait pas cru. Elle avait écouté son cœur, son amour. Et voilà où elle en était, en train de se battre pour avoir le droit à une pension alimentaire que monsieur refusait de lui donner parce qu'il avait mis sa nouvelle copine enceinte. Ils attendaient un heureux évènement et leur vie n'était que bonheur. Connard. Ils venaient à peine de divorcer. Mais sa pin-up passait avant tout à présent. Nouvelle femme, nouveaux enfants, nouveau travail, nouvelle vie hein ? Souffres sale crapaud, meurs c'est tout ce que tu mérites. Mais elle était incapable de faire autre chose à part lui pourrir la vie de temps à autre.
« - Et comment vont les enfants ?
- En quoi ça te concerne ? »
Il parlait. Il commençait à s'énerver, prétextant que c'était aussi ses enfants. Ah vraiment ? Ne les avaient-ils pas remplacé par l'enfant de sa nouvelle conquête ? Sa secrétaire. Elle ne l'écoutait pas, regardant avec ennui la salle. Pourquoi était-elle venue ? Et plus important encore, comment avait-elle pu tomber amoureuse de cet insecte ? Comment avait-elle pu lui trouver un certain charme avec son sourire qu'elle trouvait si factice ou ses cheveux châtains qu'il ne savait toujours pas mettre en valeur. Et ce costard, il était neuf non ? Il devait coûter une petite fortune, bien trois pensions alimentaires tiens. Il n'achetait jamais des costumes hors de prix lors de leur rendez-vous, pendant onze ans de mariage. Comment pouvait-on être assez aveugle pour perdre ainsi une décennie de sa vie ? Ne pas voir le caractère pathétique et insupportable de cet énergumène, ce menteur sans remords. Il était vide, creux, ennuyeux. Sans talents. Il voulait devenir écrivain mais ses romans étaient à l'image de lui-même: insipide et grossier, tellement ridicule que celai inspirait la pitié. Insipide à mourir.
Elle commença à se demander ce que pouvait lui trouver sa secrétaire, elle l'avait rapidement aperçue. Une espèce de perche anorexique à la poitrine si plantureuse qu'elle était forcément fausse à la grande bouche, blonde paille qui n'avait aucuns goûts et d'une vulgarité affolante. Avec son sourire candide et innocent, abordant fièrement son petit ventre, essayant même de se montrer désespérément aimable. Naïve chose, tu croyais que tout était déjà pardonné ? Non, Miranda Marshall bouillonnait de rancœur et de colère. Elle avait envie de les tuer, tous les deux.
« - Et la maison ?
- Je vais la vendre. »
Il les aurait presque chassé pour installer sa nouvelle famille. Le ton monte mais elle reste stoïque, peu intéressé par le baratin qu'elle ne connaît que trop bien. Peu importe que ce soit leur maison, qu'elle soit remplie de bons souvenirs comme il dit, que c'est là qu'il a sauté sa plantureuse secrétaire, sans remords dans leur maison. Il n'avait rien à dire. Et le seul plaisir qu'elle retirait de cet agaçant entretien était de le contredire à chaque phrase qu'il prononçait, le piquer au vif. Un jour il était parti en voyages d'affaires comme il disait quand il avait des rendez-vous avec cette femme et il lui avait envoyé des papiers de divorce. Il n'était jamais revenu. Trop lâche pour les affronter, elle, eux leurs deux enfants.
« - J'ai pas les moyens alors casses-toi et vas engrosser ta grognasse une seconde fois, j'ai rien de plus à te dire. »
Là, son visage répugnant devint violet comme s'il s'étranglait, essayant clairement de l'impressionner en criant plus fort. Ah, il ne fallait pas qu'elle touche à Sabine. ou Sandra ? Elle ne savait déjà plus. Peu importe. Quand l'avait-il défendu ? Avant qu'ils se marient. A cette époque, il était charmant, bien trop charmant ou elle était bien stupide. Elle ne savait pas. Il la faisait rêver. Tellement. Elle le trouvait passionnant, intéressant et intelligent, elle buvait ses paroles avec admiration. Il l'emmenait voir des navets, il lui faisait écouter de la musique qui ne semblait même pas en être, il lui racontait des livres sans intérêts, trouvant un sens profond à toutes ces âneries. Et puis il lui avait demandé de l'épouser. Ils étaient partis vivre dans petite maison dans un village, loin de la ville.
Les premières années, c'était tellement bien, tellement beau. Elle avait envie d'y croire malgré le manque de goût et de caractère de son époux que rien ne semblait faire vibrer qu'en surface. Il était terne et morne. Mais elle l'aimait. Leur vie se déroulait paisiblement, laissant s'installer une routine monotone. Elle tomba enceinte et accoucha d'un petit garçon : Jay, deux ans plus tard ce fut au tour de la benjamine : Alice. Mais ensuite le conte de fées a commencé à s'écouler. Dettes, maîtresses, alcool. Il ne faisait jamais rien, passer son temps à râler. Elle a commencé à en avoir assez : ils ont commencés à se jeter des vases à la figure, à se hurler les pires noms. Elle ne le supportait plus.
D'ailleurs, elle vient de partir car elle n'en supporte pas plus. Elle l'a planté là, en plein discours théâtrale et ridicule devant tous les client bien qu'il criait son nom.

Jay avait presque sept ans quand eu lieu l'effondrement de son monde par des choses qui le dépassait largement. Le divorce de ses parents. Les vases, les assiettes qui se brisent contre les murs. Les cris en pleine nuit. Sa mère qui pleure toutes ses larmes. Son père de plus en plus absent. Non du haut de son mètre quinze, l'enfant ne comprenait pas ce qu'il se passait. Tout ce qu'il voyait c'était sa petite sœur, Alice, sa compagne d'infortune, l'unique survivante d'un monde révolu. Il l'adorait, il l'avait toujours profondément aimé avec une affection qui était rare pour un petit garçon de cet âge. Il voulait bien être son prince quand elle le lui demandait, monter sur une chaise pour attraper les cookies interdit si elle en voulait un, grimper dans les arbres pour attraper le ballon malencontreusement lancé. Elle semblait aussi fragile que la première fois qu'il l'avait vu, petit bébé rose emmailloté encore plus petit qu'une poupée. Il avait envie de la protéger, toujours. Mais elle se renfermait sur elle-même, se recroquevillant. C'est là qu'il prit la plus grande décision de sa vie : il s'occuperait d'elle à la place des adultes égoïstes trop pris par leur propre détresse pour voir celle de sa sœur. Et cela il ne l'accepta.
Ils grandirent donc, main dans la main en oubliant le monde autour, en oubliant le reste. Mais Jay avait déjà un tempérament extraverti et social, il était déjà tout jeune entouré. Tout le monde l'aimait bien ou du moins le connaissait. Pourtant cela ne suffisait pas à intégrer sa timide petite sœur qui se faisait régulièrement embêté. On ne comptait plus le nombre de bagarres qu'avait déclenché le garçon pour la défendre, elle, la chose la plus précieuse à ses yeux. Il se jetait avec colère sur ses persécuteurs, le frappant jusqu'à ce qu'on les sépare, criant, hurlant. Il ne supportait pas qu'on touche au moindre cheveux d'Alice, c'était sa Alice, comment pouvait-il laisser quelqu'un lui faire du mal ?

Pour ses onze ans, Jay annonça qu'il voulait partir, quitter le village qui était devenue la petite ville d'Arabella. Il voulait voyager. Il avait un but précis : devenir un dresseur pokémon, le plus grand. On ne sait pas vraiment d'où lui est venu cette passion, peut-être à cause de tous les dresseurs qui passaient dans le village, les divers légendes aux sujets des pokémons. Mais plus encore, il voulait devenir assez fort pour s'occuper d'Alice tout seul, pour qu'ils puissent s'enfuir tous les deux. Évidemment, il ne pouvait pas la laisser seule, il n'était pas sûr de le supporter lui-même et lui proposa donc de venir avec lui. Il s'était évidemment documenté avant, beaucoup, il s'était montré travailleur comme il ne l'avait jamais été et comme il ne le fut plus jamais par la suite. Ainsi Jay et Alice Marshall eurent leur place à Alcea Rose.
L'école ne changeait pas de ce à quoi il était habituée et il se lia facilement avec la plupart de ses camarades. Il était en tout cas assez aimé pour devenir préfet, bien que cela attise souvent quelques jalousies. Il rencontra même la jolie Lucresia dont il tomba amoureux. La Team Astria prit le contrôle de l'école mais l'adolescent fut gardé à son poste, on pensait qu'il pourrait être utile en vue de sa popularité bien qu'il n'adhérait pas forcément à leurs idées.

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