Pas de lumière, un silence ratio dans ce noir complet de novembre déjà frileux. Blotti contre le mur, le dos de Lansfeld lui faisait désagréablement mal, l'obligeant à rester bien droit pour ne pas trop ressentir de courbatures. Quand bien même fermait-il les yeux, les images subversives de sa défaite semblaient déterminées à tourner en boucle, ressassant encore et encore ses erreur de jugement qui en temps normal n'auraient pas eu lieu d'être.
La raison de cet échec ? Son trop plein de confiance. Il avait méprisé Utako pour sa douceur dans son dressage, craché sur ses méthodes d'enseignements qu'il jugeait infantiles. Mais en parallèle, il avait négligé l'observation de son adversaire, s'il s'était arrêté un peu plus longtemps, il aurait constaté que tandis qu'il avait pris un grand soin à quérir Stari et Griknot, qui tous deux ont exigés de grands efforts, elle n'a cessé de s'occuper des siens. Sa négligence lui aura coûté de ne pas voir ce léger écart qui pourtant a su faire la différence. S'il avait joué plus prudamment, Hypotrempe n'aurait jamais servit de chair à canon pour le placement de Kraknoix. Ou alors, il aurait très bien pus faire un placement un peu plus propre... ou encore...
Assez...
Il suffit.
Stop.
...
Non.
Même en sachant que les remords ne mènent nulle part, rien n'y fait. Les scénarios fusent, les "et si.." se succèdent tous les uns parmi la suite sans jamais trouver de fin. Le sang bouillant d'impuissance, ses poings serraient ses pokeball qu'il ne quittait plus désormais, depuis ses nuits agitées. La quatrième maintenant, où ses instant de repos sont si entrecoupés d'angoisse qu'il en perd progressivement le besoin de sommeil. Ses marques deviennent visibles aussi, les longues veillées ont rendu son visage neutre et blafard plus sombre, et aggressif. Jetant un oeil à sa gauche, il regarda avec envie Blüschter dormir à poing fermés, rompant le silence avec ses respirations bruyantes. Etrangement ce bruit ne se faisait pas sans exaspération, pire, il semblait presque reconnaissant de sa présence. Peut être lui empêchait-il de trop se morfondre dans sa récente expérience, il n'en savait trop rien.

Les yeux désormais grand ouverts, l'envie de rester chaudement dans son lit le quitta expréssement. La chaleur ne lui convenait pas, trop douce et trop agréable pour un trin de vie épineux. L'enveloppe glacée de l'extérieur était moins attirant, mais lui permi de tenir sur ses deux pieds sans trop d'efforts. Enfilant une chemise grise, ses pas indiquaient la cuisinière des Narci, proscrite aux élèves mineurs. Pour les autres, certains venaient souvent vider la cafetière durant les longues nuits. Dans cette même optique, Lansfeld alla se quérir une tisane. Car même si la température élevée le rebutait, il appréciait de pouvoir réchauffer son corps sans pour autant être restreint à un petit mètre carré...
Disposant la théière, son léger siflement de vapeur était perçant et susceptible d'être entendu. Par un élève, cela n'était pas bien grave, mais réveiller MacNeil serait une autre paire de manches.
Jetant un oeil au sachet de thé, il estima le temps d'immersion à encore quelques minutes. En attendant, le son de cette théière lui était étrangement agréable. Non qu'elle est aie une certaine incidence sur son vécu, mais il appréciait son bruit, simplement...
Allongé sur le canapé du foyer, il se laissa fixer le plafond un moment avant de retourner voir l'infusion. Un peu trop longue à son goût, mais au moyen le résultat n'en était pas face. Ces feuilles de thés de Jade avaient une saveur bien spécifique, forestière...

Posant sa tasse sur la table situé devant lui, il s'allongea cette fois à l'horizontale, sa nuque sur l'accoudoir. Soupirant doucement, il se laisse le temps d'apprécier son verre.

Simplement éclairé par le feu de la cuisinière, le petit foyer donnait dans le noir une étrange impression accueillante qui faisait défaut à l'ensemble du domaine Narcissus par ses dimensions ridiculement grandes. Pensent à ses premiers jours, lui même n'avait trouvé en ces lieux qu'un cercle fermé dont les ondes subversibes finissent tôt ou tard par prendre possession des moeurs.
Une maison, une famille ?
Le mot serait plutôt une meute. Bassinant parmis les requins, chaque individu est consummé par l'avidité du pouvoir et son prestige.

Pourtant, à l'instar d'une rumeur populaire, les Narci ne sont que rarement de noble naissance. L'argent ne fait pas le statut, il fait bien plus. Les derniers avachis sur des codes vieillissants deviennent aujourd'hui témoins de la décadance d'un environnement qui les a formatés depuis leur plus tendre enfance.
Lansfeld avait pars ailleurs entendu des bruits sur Tsukiyo, héritière d'un fief lointain, mais n'en avait pas prêté plus d'attention. A la voir, sa corpulence svelte mais ferme laissait paraître un entretient corporel fréquent, voir légèrement poussé. Et il ne s'agissait nullement de fitness, ne serait-ce que par les légères tendances carrées qui se dessinaient sur ses épaules. Lui même imaginait avec amusement de pauvres infortunés l'ennuyant avant quelques mauvaises surprises futures...

Mais cela ne le regardait pas, et continuer sur cette voie pouvait l'amener à trahir cette similitude. Chose qui, sans trop savoir pourquoi ne l'emballait pas outre mesure. Cette sensation d'apréhension lui était étrangère, les regards haineux étant étrangements plus accomodants. L'habitude, probablement. Ou peut être autre chose que lui même ne suspectait même pas...

Levant les yeux en sa direction, il posa son verre contre une table basse avant de poursuivre.

Lansfeld serra son thé entre ses mains, car ces paroles lui étreignait le coeur. Quand bien même nier l'évidence était dangeureux, il n'était jamais facile d'admettre ses points faibles.
Trop de choses s'étaient succédées en si peu de temps. Sa défaite personnelle à l'humiliation sans nom, la victoire du préfet MacNeil qui creusait encore l'écart d'entre deux, le changement brutal de l'environnement Narci...
Quelqu'en soit les circonstances, il avait perdu ses repères, fragilisé sa volonté en faisant naître le doute.
Peut être bien que sa force n'était que chimérique, elle. Avait-il vraiment vécu à l'Usine Combat ? Ces mois de séparations lui semblaient être des années, duquel ne restaient que ses misérables souvenirs de débuts à Alcea.
Sa confiance excessive l'avait fait perdre, indéniablement. Mais s'il a échoué parce qu'il croyait en sa force, cela ne voulait-il pas dire que justement, elle n'était que fantasme ?

Se ravisant bien vite, Lansfeld posa sa tasse avant de réajuster ses lunettes de façon à cacher son regard par ses montures de verre. Sans trop parvenir à cacher ses émotions, il finit par les ôter prestament pour se frotter l'oeil de l'index, espérant ne pas y trouver de larmes... priant pour qu'il n'en ait pas ou que Tsukiyo n'en voit rien.
Expirant doucement, il tenta de se reprendre mais évita le regard de la Narci.

Certes, le soleil est un sourire universel. Il contraint les gens à plaire et à adopter cette fausse attitude le temps d'une journée. Il n'y a que la lune pour ouvrir nos coeurs, et pleurer nos étâts d'âme.
Son regard d'un bleu glacé n'en était pas froid pour autant, Lansfeld n'aurait su dire ce qu'il exprimait, et elle même probablement non plus.
La nuit et ses sortilèges conduisaient à des évènements bien étranges, cette soudaine proximité devenant la nouvelle distance liant les deux individus nocturnes. Elle devenait proche, tellement qu'il en sentait une odeur suave mais persistante, et ce bleu toujours aussi obnubilant bloquait simplement tout pensée...

Il y régnait une atmosphère étrange, empreinte de mysticisme. Des élans de douceurs accompagnaient les mots aigres et froids de la bouche de Tsukiyo. Des lèvres fines, retroussées et sans artifices, chuchotaient tendrement avec dévotion et tendresse, tandis que son bleu glacé punissait alors toute proximité, impitoyable.
Lansfeld se prit d'affection pour ce paradoxe, regorgeant d'une subtilité trop souvent ignorée. Après une gorgée de liquide tiédie par l'attente, il en pose la tasse sur le rebord de la table avant d'expirer doucement. S'allongeant de tout son corps sur le canapé, il tourna la tête en sa direction. Dans cette position, il était contraint de lever les yeux vers elle, et à sa grande surprise il n'en discerna aucun dédain ni condescendance dans le regard qu'elle lui rendit. Il n'y avait rien, sinon un bleu profond et opaque qui ne répondait à aucune explication...

Marquant une pause, il se laissa de nouveau se perdre dans son regard. Sans trop comprendre cette fascination, cette envie irrépréssible de maintenir le contact visuel.
En d'autres lieux, d'autres circonstances, une pareille indécence aurait trainé son coprs hors de la zone rouge. Cependant, la fatigue de courtes nuits répétées, sans parler des derniers évènements l'ont peut sans doute fragilisés...
Recherchait-il une quelconque consolation au creux de ses bras ? Pas nécessairement, Tsukiyo étant une femme de conversation et non de consommation, la traiter en apaisant moral serait une insulte à sa fierté. Affection et attention ne sont pas à confondre, et pour cause, il en fuit l'un pour mieux poursuivre l'autre.
Passant ses mains dans ses cheveux, il tenta de se reprendre.

Il y régnait une atmosphère étrange, empreinte de mysticisme. Des élans de douceurs accompagnaient les mots aigres et froids de la bouche de Tsukiyo. Des lèvres fines, retroussées et sans artifices, chuchotaient tendrement avec dévotion et tendresse, tandis que son bleu glacé punissait alors toute proximité, impitoyable.
Lansfeld se prit d'affection pour ce paradoxe, regorgeant d'une subtilité trop souvent ignorée. Après une gorgée de liquide tiédie par l'attente, il en pose la tasse sur le rebord de la table avant d'expirer doucement. S'allongeant de tout son corps sur le canapé, il tourna la tête en sa direction. Dans cette position, il était contraint de lever les yeux vers elle, et à sa grande surprise il n'en discerna aucun dédain ni condescendance dans le regard qu'elle lui rendit. Il n'y avait rien, sinon un bleu profond et opaque qui ne répondait à aucune explication...

Marquant une pause, il se laissa de nouveau se perdre dans son regard. Sans trop comprendre cette fascination, cette envie irrépréssible de maintenir le contact visuel.
En d'autres lieux, d'autres circonstances, une pareille indécence aurait trainé son coprs hors de la zone rouge. Cependant, la fatigue de courtes nuits répétées, sans parler des derniers évènements l'ont peut sans doute fragilisés...
Recherchait-il une quelconque consolation au creux de ses bras ? Pas nécessairement, Tsukiyo étant une femme de conversation et non de consommation, la traiter en apaisant moral serait une insulte à sa fierté. Affection et attention ne sont pas à confondre, et pour cause, il en fuit l'un pour mieux poursuivre l'autre.
Passant ses mains dans ses cheveux, il tenta de se reprendre.

Il écoute, laisse ces paroles aigres couler de ces lèvres tendre lui tiquer sa fierté avec présomption. Cette femme était bien sereine pour une fraîche étudiante. Son ignorance était certes un choix de recul, mais en ce monde d'intrigues, que valait-elle ?
Lansfeld considéra ce genre de réaction. Que pouvait-on vraiment lui reprocher après tout. Le danger semblait si loin, si peu rationnel que s'en préoccuper tenait d'une paranoïa dont seuls quelques anciens sauraient discerner le bien fondé. Les choses avaient bien changés depuis son retour... Deux ans plus tôt, jamais n'aurait-on confié aveuglément la direction à l'Astria, sans même y questionner ne serait-ce qu'une fois leurs actes. Les étudiants d'aujourd'hui vivent dans un bien beau rêve, de quiétude qui ne finissait pas de lasser les vétérans.
La force n'est pas chose innée, celle-ci se gagne au gré des osbtacles encourus, mais d'une vie sans évènements il n'en tire rien de bon. Tout juste quelques soldats transpirant la peur devant leurs destin. C'était ça l'effroi, et non la prudence qui émanait de ses inquiétudes.
Son cas était loin du point critique, se situant lui même par dela la plupart des étudiant, quoique cela ne lui suffisait pas, évidemment.

De grands mots, pour une fille si frêle.
Que peut-on voir de Tsukyio cet être aussi changeant que la lune. Lansfeld était frustré par ces paroles moqueuses, mais sans fond de déni, donnant l'air juste... légères ? Les mots manquaient pour expliquer cet étrange comportement si versatile, mais dont la logique semblait bien prenante.
Non.
Il avait bien conscience de cette rationalité, et à vrai dire il n'aurait souhaité le voir. Lui qui avait traversé les tourments des compétitions intensives de l'Usine, ses combats en avaient fait un prédateur redoutable, même avec le plus insignifiant des pokemon...
Dans des cas plus minimalistes, il avait éprouvé des défaites inattendues, et oui, en cela il conservait cette honte, et la peur de toute redondance..
Mais depuis son arrivé, le niveau très bas de ses congénères avait suffit à alimenter ses espérances de revenir un jour vers Cardus chargé d'une âme nouvelle, épurée des résidus individuels.

Poussé par une rage interne, le pied de Lansfeld cogna brusquement contre la table basse. Touché au plat, la douleur était risible, mais le bruit bien distinct. Se rendant compte de la stupidité de son geste, il se ravisa.
Les picotements lui firent entendre raison, calmant bien vite ses ardeurs...

Féline, son corps de dressa de toute sa splendeur devant ses yeux éteints, la nuit et ses sortilèges avaient éveillée ses sens au delà de sa perception propre. Il sentait le rythme de son coeur battre et résonner bruyamment de part et d'autres de ses membres sans qu'aucun geste ne puisse en sortir.
Une douce odeur de lilas flottait dans le vent, se faisant plus intense à mesure qu'approchait la jeune femme au regard bleuté, jusqu'à fermement tenir une emprise sur ses systèmes olfactives. Obsédent ses sens, la présence ainsi rapprochée de Tsukiyo lui semblait si naturelle qu'il en laissa libre cours à ses gestes de porter à lui son visage serein et immaculé...
Le bleu, ce bleu azur noyait l'être minuscule que présentait Lansfeld face à l'immensité de cette vision iréelle, pourtant si attirante. Sentant les vagues de son souffle lui balayer les joues, des frissons le parcourèrent à mi-mesure tandis que leurs intervalles se réduisait. Des fils imaginés portaient désormais ses mains en hauteur, tendrement posant leurs doigts entre ses mèches argentées, fines et soyeuses, qui se délient indépendemment de la dextérité masculine. Ces doigts pénetrèrent alors plus assurément le capillaire, seulement pour empoigner doucement la tête. Dans un élan opportun, les règles ne sont plus et nait le désir nouveau d'une chose encore inconnue.
Lansfeld se laissa perdre au jeu, ne répondant qu'à demi l'attention accordée.

Tournant légèrement la tête, leurs joues s'éfleurèrent en un temps qui semblait durer le millénisme. Sa peau était douce, unie et tiède. Leur contact amena des sensations nouvelles au creu de sa nuque, frissonnant à l'arrière tandis que l'avant semblait étreindre une agréable chaleur.
Son souffle suave et sensuel commençait à emplir les poumons du garçon, s'enivrant de sa senteur légère avant de tirer contre lui ce visage si paisible...

La douce senteur se laisse parcourir le long du visage, multipliant frissons et émois jusqu'à tendrement s'évanouir dans cette douce tension intime. Le silence, au creux des regards embarassés s'abandonnent peu à peu dans les méandres de cette élan que la nuit obsède.
Son coeur est chaud, enhardi par ce sentiment nouveau qu'il éprouve, aussi désireux et ardent qu'il ne l'aurait jamais cru penser devant un tel renouveau de situations. Sa tête, brûlante des émotions transcendant son esprit lui dictaient milles et une choses distinctes, duquel lui même ne pouvait prendre parti à faire...

Toujours obnubilé par ce regard doux et froid, il caressa de ses doigts le visage de la belle, son teint désorienté se raidissant sous le contact de ses mains glacées. Son index passant tendrement sur les comissure, avant de tracer sa route le long de sa lèvre inférieure, appréciant la tendre texture de cette dernière..
Le visage toujours aussi proche, il leva un sourcil.

Qui sait...
Toujours est-il que cette sensation chaleureuse, si agréable soit-elle, ne durerait l'instant que d'une étreinte.
Chacun sait, au fond, que cette affection ne se prolongera pas. Pas dans sa certitude la plus globale en tout cas. Il y a de cela quelques minutes, elle ne représentait rien, sinon une femme d'attention. Et désormais entre ses bras, la tournure de ses pensées le laissait perplexe.
Cette envie irrépréssible le poussa à retrouver le contact de leurs lèvres posés à découvert, sous le couvert bienveillant de la lune..
Son crps en demandait la cause, lui ne pensait qu'à la conséquence. Cet acte aurait-i des retombées futures ? Car vraiment, que savat-il d'elle ?
Rien.
Sinon des impressions éparses, et des certitudes quand à ce qu'elle n'était pas.
Mais avait-il vraiment besoin de plus ?
Pour l'heure, mieux valit savourer ce délice nocturne, tant que le destin le lui permettait...

Le regard brumé, chaque once de l'être de Lansfeld semblait tiraillé par d'infimes picotements étrangers.
L'atteinte du au manque de sommeil se faisait sentir, des douleurs parsemant son front s'épinent dans les méandres de sa tête grignotant ses neuronnes péniblement...

Quand le temps s'écoule, la force semble s'évincer de ce corps frileux. Il fait froid d'un coup, la fatigue peut être. Spontanément, les mains de Lansfeld se raccrochent au chemisier de la dame, comme l'en empêcher de sombrer dans un vortex imaginaire.
Ses mains tremblent, car le socle de ses pensées n'est plus. Tout tremble à la manière d'un chateau de sable se liquéfiant soudainement par l'action d'une pluie torrentielle.
De là, ne subsiste qu'une matière nouvelle, maléable mais informe.

Est-ce là le résltat de son état d'esprit ?
Pour ainsi dire, il n'en sait rien.
Ce n'est plus lui qui dicte l'expression de son visage, ni les mots qui en ressortent...

Laissant ses mains couler le long de son corps, il se laisse apprécier, une dernière fois, l'agréable sensation de Yuki contre ses doigts. Sans trop perdurer le contact, le regret de ne pouvoir prolonger l'effet est bien dommage...
Il l'écarte de son chemin avec soin, main gauche sur l'épaule, la droite sur le genou. La porter reste tentant, mais sa fatigue ne le permettrai sans doute pas.
Enfin que diable, lui même ne comprend plus ses gestes. Depuis quand la trouve-t-il si attrayante ? Rien. Depuis quand se morfond-t-il de désir dès l'instant où traverse son regard bleuté vers le fond de son âme ?

Ensorcelé sous la lune, Lansfeld usa de ses dernières ressources pour se lever. N'accordant pas de dernier regard à sa compagne nocturne, il ne lui en donnerai pas car il espérait que celui-ci ne fut-ce pas le dernier.
Peut être....