Y à des jours comme ça... où l'on est obligé de se battre. Ces jours-là, on ne le sait pas, mais on va subir des coups. S'en prendre, en donner. C'était plus rare que ce soit de filles qui soient concernés par cette règle. Ce matin-là, il avait séchés les cours, pour prendre le temps de démarrer. Quand il faisait le compte des journées passées en cours, il dénombrait pas moins d'une matinée de cours. Sale histoire. Effectivement, si tout le monde faisait comme lui, la réputation de l'école allait en prendre un coup. Il faisait chaud. Pantalon de lin nolir, chemisette blanche. Ses trois pokémon derrière lui, marchaient en silence. Xatu à gauche fumant ses merdes. Solochi se tenant près de son dresseur. Griknot à la droite du Solochi. La dream team avançait, son leader main dans les poches avançait en silence. Oui, la journée était belle. Rien ne pouvait troubler la quiétude de celle-ci. Quelque part, il faisait un peu cow-boy. Il ne le savait pas encore, il allait jouer shérif dans très peu de temps. Si Atios appréciait quelque chose en particulier chez les pavillons des spiraea, c'était les jardins fleuris qui étaient effectivement un lieu de pure détente. Bon y avait les thermes ... Mixtes. Quelque part, fallait qu'on lui explique comment elles pouvaient être mixte d'ailleurs. Parce que mixte, thermes, ça signifiait qu'on y trouverait - en théorie - des filles et des garçons en même temps. Et les garçons, ils aimaient - en théorie - le corps des filles. Lui aussi, mais risquer de passer pour un gros pervers, c'était pas son objectif. Non, lui c'était plutôt de diriger l'école en bon petit roi. Imposer son jeu. Pas passer pour un voyeur.

Soudain, Solochi lève la tête. Plus loin, trois garçons, trois filles. Quatre de ces six personnes entouraient deux autres personnes. Des rires. Des voix qui s'esclaffaient. Des gestes un peu violent. Atios soupira et s'avança avec une voix mi-amusée mi-neutre le regard sardonique : Yoh les gars, vous vous amusez on dirait. Pourquoi vous emmerdez ces filles ? Dit-il en s'avançant pour contempler les deux infortunées. L'explication, elle était toutes bêtes. Deux Menthea qui emmerdaient une jeune Spiraea. Et les ainées viennent défendre la jeune. Et voilà comment les ainées finissent par martyriser deux pestes qui étaient tombées sur plus forte qu'elle... Sale histoire. Il soupira et dit alors : Ouaip, je pense qu'elles ont compris que si elles recommençaient à l'emmerder, elles risquaient de vous retrouver... Vous pouvez les laisser partir je pense... Malheureusement, les trois autres garçons étaient pas de cet avis et c'est ainsi qu'Atios se retrouva devant les jeunes filles. Les mains n'allaient pas tarder à partir vers son visage... Et cela ne manqua pas. Le Spiraea aux lentilles bleus attrapa un poignet au vol qu'il retourna avant de dégager sa victime à coup de pied dans le torse. Le prochain lui latta le visage sans qu'il ne puisse réagir, mais l'élève transféré serra les dents et lui plaça un uppercut suivi d'un bon coup de boule. Commentaire de l'envoyeur : Ah bah ça le moins que l'on puisse dire, c'est que ça réveille. T'en veux un aussi ?

Profitant du nouvel espace qu'il venait de libérer, Atios leva sa jambe pliée à mi-hauteur en souriant, la joue droite tuméfiée. Il la posa au sol ... Et d'un geste rapide mais violent, il asséna un coup de pied dans les cottes de celui qui le faisait face, le mettant à genou. Il se remit en position, leva la jambe au ciel. Là, le moins qu'on pouvait dire, c'est qu'il était souple et pas qu'un peu. Sa jambe était pratiquement à la verticale ... Son pied et plus particulièrement son talon, vint taper le sol à côté de son camarade au sol, dans un claquement effroyable. Forcément, la gravité et la force mise dans un tel coup était toujours assez impressionnante à entendre. Tout le monde ici présent savait que le jeune homme savait se défendre un minimum. Il le cachait, mais le coup de pied marteau qu'il avait exécuté en direction du sol lui avait fiat mal. Cette technique était à double tranchant, d'autant plus que là, il avait frappé contre une surface dure de toutes ses forces. Des fourmis traversaient ses pieds alors que le Spiraea et ses potes partaient. Atios alla voir les jeunes filles déboussolée par le spectacle : La prochaine fois, emmerdez personne. On est tous humains et on est tous des élèves de la même école... Et à cause de vos conneries, des gens se sont blessés ... Que ça vous serve de leçon à vous trois... Bref, moi je vais mettre de la glace sur ma joue... Les potos, on y va. Dit-il à l'adresse de ses pokémons, spectateurs silencieux jusqu'alors. Atios s'avança alors vers chez son pavillon, mais plus loin sur la route, il s'arrêta face à une spectatrice qui avait été discrète jusqu'alors : Personne n'est mort, si c'est que tu veux savoir.

Atios se pencha sur la jeune fille pour la regarder droit dans les yeux et il sourit, en ajoutant : ▬ Merci du compliment, jeune demoiselle à la langue acerbe. Néanmoins, quelle présomption dans vos éloges, alors que nous nous connaissons à peine, vous me tutoyez, vous brisez effectivement tous les codes de conduites les plus civilisés digne de ces idiots de lychnis... Son ton se faisait volontairement piquant et ironique. En fait, il ne pouvait s'empêcher de la taquiner, parce que sa joue enflée était douloureuse. Il avait rouiller, se laisser frapper comme ceci ... M'enfin. Quand quelqu'un veut vous frapper, en général, il est trop tard pour intervenir de façon intelligente et réfléchie ... Si les grands cerveaux pouvaient résoudre tous les conflits de ce monde, des gens ne mourraient pas en cet instant trivial entre une jeune demoiselle aux blonds cheveux et un justicier aux lentilles bleues. Le regard rieur et d'une prétention cruelle du genre à vous écraser telle une lame de guillotine le jour de votre exécution, Atios lui fit le plus beau des sourires acide. Le genre de regard félin contemplant une souris. C'était autant vrai de caractère, de vécu et de physique. Mais le Spiraea n'était pas méchant. Mais après une telle altercation et de sauvetage de jeunes demoiselles en détresses - Le même genre qui lui faisait face, qui parlait et puis qui était bien contente de le voir débarquer parce que les grands méchant Spiraea veulent faire tomber la justice sur ces petites emmerdeuses de Menthae mal dégrossie qui jactent plus de venin sur les autres que de réflexions intelligentes et impartiales -, on ne s'en sort pas totalement calme. Donc forcément, lui aussi était inspiré sur ses mots.

▬ Enfin, pardon, je n'ai pas la prétention d'être parfait moi-même et je ne voudrais pas non plus vous signifier tout le mépris qui à pu paraître dans mes mots. Il n'était là que pour vous rendre votre attitude si agréable à mon égard, ma chère ! Ajouta le Spiralychmentisuss. Oui, il était un incroyable personnage. Puisqu'il pouvait effectivement agir comme n'importe lequel de ses groupes et son orientation avait, semblerait-il, était compliquée. Cependant, sa propension à être quelqu'un de généreux et de gentil l'avait conduit chez les Spiraea. Du moins, c'est ce que lui avait révélé son propre dossier. Il s'abaissa encore plus bas pour contempler le pokémon suivant la jeune demoiselle. Droit dans les yeux. Ici, son sourire et son regard avait été bien plus agréable et sincère. Atios contempla le minidraco sous toutes ses formes. Donc c'était ça un vrai. Cette journée avait été plutôt mauvaise jusqu'à maintenant, mais cette rencontre lui faisait chaud au coeur. Il avait effectivement cherché un minidraco pendant plusieurs heures dans le lac souterrain près de l'école. Il était resté sous terre près d'une journée entière. Plutôt qu'un minidraco, la providence lui avait envoyé un Griknot qui était en train de contempler avec son dresseur et les deux autres pokémons ; c'est-à-dire le Xatu fumant quelque chose d'illicite et son collègue dragon Solochi. Avec un sourire presque enfantin, il dit à l'adresse du dragon sur l'épaule de la jeune fille : ▬ Tu ne connaîtrais pas l'un de tes congénère prêt à rejoindre mon équipe ? En tout cas, j'espère qu'un jour tu deviendras un beau dracolosse. Mais j'espère que je trouverais un de tes comparses d'ici-là. Ouioui, il parlait bien au pokémon. Et son ton et son regard s'était largement plus doux et agréable que pour la dresseuse. En tout cas, il se releva alors et continua sa route, remettant les mains dans ses poches en disant : ▬ Un conseil, évites de parler à n'importe qui comme tu l'a fais avec moi. Ici, y en a qui aiment pas beaucoup les gamines qui ouvrent trop la bouche devant leurs "senpai". Et je vais pas toujours être là pour les empêcher de punir les vilaines Menthae trop sûres d'elle ... M'enfin, t'as pas dû être élevé à la japonaise, sinon t'oserai pas l'ouvrir comme ça. Bref, bonne continuation.

Oui, il avait déjà fait la morale à Riley, question supporté les pestes, il en avait eu sa dose. La prochaine Menthae qui l'emmerdait allez voir de quels bois il se chauffait. Et ça finirait sûrement par une gamine en larme et un Atios blasé.

▬ Blablalablah, cause toujours, tu reviendras t'exprimer le jour où tu sortiras des jupes de maman, d'accord ? Allez, si t'es pigé, j'ai pas que ça à faire de jouer avec toi. Dit-il sans se retourner et se diriger jusqu'à son pavillon. Là-bas, il alla se passer la joue à l'eau froide. Sa joue faisait mal. Il avait plus l'habitude de se prendre des coups. L'avait-il jamais eu ? Son passé n'était pas plein de violence, mais il avait appris à se battre car parfois, quoi qu'on en dise, c'était nécessaire. C'est là que Xatu rentra dans la salle de bain en claquant la porte et en tentant de lui mimer en morse qu'il devait se dépêcher. L'oiseau, joint au bec (au sens littéral du terme) tentait de lui expliquer qu'on le cherchait et qu'on risquait au passage de frapper une innocente ... Atios avait enlevé la chemisette pour mettre un t-shirt blanc, car décidément, il faisait trop chaud et ne comprenait pas l'agitation de son pokémon. Quand finalement, il le suivi à l'extérieur jusqu'au jardin Nippon, il ne retrouva pas moins ses collègues Spiraea en train d'emmerder la jeune fille de tout à l'heure. C'est là que les derniers mots de la jeune fille revinrent à l'esprit du jeune homme. Sale histoire. Que faire ? La laisser tomber ? Elle le méritait quelque part et ne désirait sûrement pas son aide. D'un autre coté, il ne pouvait pas la laisser non plus sans l'aider. Que faire ? L'un des garçons s'apprêtait à la frapper et à lui hurler dessus.... Oh et puis merde : ▬ Hey, les mecs ! C'est pas moi que vous cherchez ? Laissez-là !

▬ Les gars, l'autre connard est revenu ! L'autre traître qui a protéger ces p'tites emmerdeuses est revenu !

▬ Amenez-vous, tas de con ! C'est l'heure de la fessée !

Et c'est sur ces paroles fortement amicales qu'une nouvelle incartade éclata. Les coups fusèrent alors sur les garçons en train se foutre copieusement sur le ciboulot. Atios finit par se faire attraper par derrière et de se prendre un coup de genou dans le ventre. Titubant, légèrement sonné, il se libéra avant de plonger à nouveau dans la mêlée qu'il dominait malgré l'infériorité numérique. Les échanges de coups durèrent bien dix minutes, le temps que toutes les aigreurs soient taries. Atios s'était pris de jolis coups un peu partout sur le corps, mais il se tenait debout au milieu des élèves roués de coup. Il était victorieux, mais vu son état, il était remonté et pas qu'un peu. Le moindre commentaire de la part de la jeune fille pourrait le faire sortir de ses gonds. Xatu l'avait aidé dans l'échange de coup en lançant une onde folie pour sauver la mise à son dresseur, sans quoi il aurait passé un sale quart d'heure. Son bras était d'un bleu assez triste. Coup de batte de baseball. Quand on est un homme, on sert les dents et on réplique. Son bras était un vilaine assemblage de douleur en ce moment. Finalement, son attention se reporta sur la jeune demoiselle qui devait avoir la quinzaine. Il connaissait déjà sa réaction et ce qu'elle allait lui dire. Aussi, il la regarda de toute sa hauteur. Le genre de regard qui vous glace le sang. Un regard qui signifie que vous n'êtes rien et que vous ne méritez même pas d'être là. Des cons, même chez les Spiraea, il y en avait. Mais ils étaient en général plus dangereux que les petites garces de manthae. Il tourna les talons, en soupirant, en marchant tant bien que mal. Sa prochaine destination serait l'infirmerie. Vu le coup qu'il s'était pris sur le bras, il allait sûrement avoir besoin d'autre chose que de la glace pour faire passer la douleur.

Sa seule consolation dans cette histoire, c'était qu'il avait suivi ses idéaux jusqu'au bout. D'autres se seraient planqués et aurait laissé les garçons se venger sur la gamine. Mais il n'était pas lâche. Et trop intelligent pour savoir qu'il aurait eu des remords. L'envie de prendre ce que fumais Xatu lui traversa l'esprit, alors que pour la première fois, Atios était d'une humeur massacrante depuis son arrivée à Alcea Rosea.

HRP : Tu me diras par mp ce que tu en penses ; si ça te plaît pas j'éditerai ^^

Pourquoi ne pas avoir donné l'ordre de ses pokémons de charger avec lui ? Parce qu'il ne voulait pas dépendre d'eux. Ils n'étaient pas des armes destinées à le défendre. Ils n'étaient pas son bouclier ni même son glaive. Ils étaient ses amis. Ainsi, ils le défendraient s'ils en ressentaient le besoin. Ils avaient un grand libre arbitre sous la direction du dresseur. Solochi et Griknot n'avait pas attaqué pour la simple raison qu'il y aurait eu besoin de civières s'ils l'avaient fait. Utiliser des pokémon pour blesser les autres n'était pas moins que de transformer ceux-ci en arme à feu et il n'aimait pas ce concept. Ils pouvaient se battre entre pokémon si ces derniers le désiraient... Mais ce qui concernait les Hommes, devaient être réglés par les Hommes. Et quand bien même, un humain pouvait tuer un pokémon. Le Stari avait fait preuve de vaillance pour protéger sa dresseuse, soit. Mais un coup de batte de baseball bien placé sur la gemme l'aurait probablement grièvement blessé. Pareil sur ses propres pokémons. Ceux qui tiraient ne devraient être que ceux qui sont prêts à se faire tirer dessus. Et ça, la jeune dresseuse n'avait pas compris le risque que son pokémon avait encouru en la défendant. Et quand elle lui adressa la parole pour lui cracher son venin, il n'avait pas bronché. C'était tellement prévisible. La réaction de certains Menthae étaient si prévisible. Il regrettait presque de s'en être mêlé. Aide les autres, récoltes et subit la haine, assembles-tout et souffre pour les autres. Atios était ainsi. Il se demanda si ses actes avaient été juste ? Où avaient-ils étaient motivés par l'auto-satisfaction d'aider les autres ? Oh, c'est sûr, il y avait un peu de ça. Personne n'était capable d'une abnégation totale. La preuve en était avec l'antithèse de l'abnégation qui se trouvait dans son dos.

Oui, il voulait souffrir pour les autres s'ils pouvaient éviter d'en souffrir. Il se satisfaisait de peu s'il avait pu atteindre cet objectif. Et même si la gratitude de la jeune fille n'était pas moins un abject vomi, composés de phrases destinées à s'auto-persuader de ses propres capacités, elle n'avait pas été blessée. Il pouvait être fier de lui ; beaucoup de gens au Japon préféraient détourner le regard, se mettre un dossier devant le visage et continuer d'avancer en détournant les yeux. Et même si l'effronterie de la jeune fille et son inculture sociale lui cachait cette réalité, lui en était bien conscient. Le jour où il ne serait pas là, où elle se ferait braquer et qu'un de ses pokemons seraient blessés, elle regrettera bien que cet idiot ne soit pas apparu pour récolter le mauvais (ou le bon, c'est selon le point de vue) rôle. Il y avait été dès le début en connaissant la réaction de la jeune fille. Alors qu'Atios avançait, son Solochi fit quelque chose de totalement imprévu. Il lança son attaque Draco-rage juste à côté de la jeune fille, levant une colonne de poussière et couvrant la voix de la jeune demoiselle. C'était une façon pour le pokémon aveugle de faire taire la jeune fille dont la voix assaillaient ses oreilles. C'était une façon de défendre l'honneur de son dresseur, une méthode expéditive pour remettre à sa place la jeune fille qui, si elle regardait bien les trois pokémons du dresseurs, la fixaient avec un air plein de dédain et de dégout avant de retourner. Même son Xatu, avait une mine pleine de morgue et de déception. Atios n'avait rien dit à son starter ; il n'avait blessé personne et du moins, il n'aurait pas pu mieux répondre à la jeune fille.

Elle l'avait trouvé immature de lui dire d'aller parler à quelqu'un d'autre ? Elle trouverait sûrement immature la façon dont il ignorait cette dernière. Mais quand Atios vous ignore, c'est que vous êtes plus bas que terre à ses yeux. Vous n'existez que si vous avez besoin d'aide. Pour le reste, il n'a rien à faire avec vous. Il ne vous abandonnera pas, mais il ne vous sourira jamais. Son regard de glace ne pourra plus que vous donner un sourire plein de mépris, le genre de sourire qui vous laisse sur place et qui vous fait ressentir à quel point vous êtes pitoyables. Et car, lui démontrait ce qu'il ressentait ne servirait à rien, il avait fait le choix de ne pas réagir et de ne pas lui répondre. L'important maintenant qu'elle n'avait plus aucun besoin d'être protégée ou secourue, c'était d'aller soigner son bras et de prendre quoi que ce soit pouvant l'empêcher de souffrir plus encore. La douleur, c'était pas son truc, malgré que ses idéaux étaient pour les masochistes. En parlant de ça, il ne pouvait pas rester et communiquer avec la jeune fille à moins de l'être. Le châtiment des gens comme ça étaient de finir seuls et abandonnés de tous. Ils se sentiraient supérieurs aux autres, mais finiraient seul et abandonnés de tous. Ils ne leur resteraient plus que leur intelligence qui les avaient rendus si con. La logique voulait qu'on ne reste pas avec quelqu'un qui vous projette de l'acide au visage à chaque mot. Et la jeune demoiselle Unysoise se rendrait compte tôt ou tard qu'elle finirait par tomber sur quelqu'un de plus méchant qu'elle. Il partis en direction de l'infirmerie en se vidant l'esprit sur le chemin. Elle ne méritait pas qu'on accorde d'importance à sa personne. Il devait oublier son existence et la mépriser.